PAROLES EN OCCITAN ET TRADUCTION

Se canto, que canto
Canto pas per you
Canto per ma mio
Qu’es al lent de you
Aquelos montagnos
Qué tan aoutos sount,
M’empatchon de bésé
Mas amous oun sount

Debat ma fenestro,
Ya un aousélou
Touto la neî canto,
Canto sa cansou.

Baïssas bous mountagnos
Planos aoussas bous !
Perque posqui bésé
Mas amous oun sount.

Aquélos mountagnos
Tant s’abacharan
Mas amourettos
Se rapproucharan

 S'il chante, qu'il chante

Chante pas pour moi
Chante pour ma mie
Qui est loin de moi.
Ces fières montagnes
A mes yeux navrés,
Cachent de ma mie
Les trait bien aimés.

Dessous ma fenêtre
Y a un oiselet
Toute na nuit chante
Chante sa chanson

Baissez-vous montagnes,
Plaines haussez-vous
Que mes yeux s’en aillent
Où sont mes amours

Les chères montagnes
Tant s’abaisseront
Qu’à la fin ma mie
Mes yeux reverront.

  

L’arraisonnement le 4 juillet 2019 à Gibraltar par les autorités britanniques du pétrolier Grace 1 contenant 300 000 barils de pétrole iranien à destination présumée de la Syrie est contraire aux lois internationales régissant la navigation maritime.

Cette opération, préparée à l’évidence en coopération avec les services de renseignement des États-Unis, est un acte hostile envers l’Iran et la Syrie et s’inscrit dans l’acceptation par le Royaume Uni des sanctions extraterritoriales des États-Unis.

La France, « Mère des arts, des armes et des lois », pourrait saisir cette occasion pour donner une nouvelle impulsion au rôle de l’Union Européenne dans le monde comme promoteur de paix et de diplomatie, en s’associant aux protestations russes dont le Ministère des Affaires Étrangères a dénoncé cet acte de piraterie maritime comme dangereux pour l’avenir du monde, en rappelant à ses amis et alliés, notamment aux Britanniques, qu’on ne peut avoir un double langage : d’une part dénoncer le retrait des États-Unis des accords internationaux, dont le PGAC, entre les 5+1 et l’Iran, et enfreindre les lois internationales sur la navigation maritime.

Soutenir la Russie – et l’Iran par conséquent- sur la scène internationale et notamment à l’ONU rappellerait à tous qu’un avenir paisible pour la planète n’est envisageable que dans le respect des lois internationales et des résolutions de l’ONU et non dans des actions unilatérales qui ne peuvent qu’engendrer des représailles et un engrenage dangereux.

Signé :

Ali Rastbeen, Président de l’Association Franco-Iranienne

Michel Debray, amiral,

Alain Corvez, Colonel, Conseiller en stratégie internationale

Dominique Delawarde, général (2S), ancien chef «Situation-Renseignement-Guerre électronique à l’EM interarmées»

Jacques Hogard, Colonel, PDG de EPEE (Expert Partenaires de l’Entreprise à l’Étranger)

Leslie Varenne, Directrice de l’IVERIS (Institut de Veille et d’études des Relations Internationales et Stratégiques)

Gérard Bapt, ancien parlementaire français, maire de Saint Jean (Tarn et Garonne)

Patrick Vaugien, Officier supérieur en retraite, vice président de EPEE

Jacques MYARD, ancien parlementaire français, maire de Maisons-Laffitte

Bruno Rioux, chirurgien ophtalmologiste, Chevalier (GM) Ordre de Malte

Yves Logette, Colonel (CR)

Jean Paul Baquiast, Président de l’Association europesolidaire.eu

Jean Pierre Tardy, militaire en retraite

Youssef Hindi , écrivain, historien, chercheur indépendant

Jean Pierre Arrignon, historien, professeur des universités

Simon Graziani, entrepreneur à la retraite

Gérard Boin, militaire en retraite

André Legrand, universitaire en retraite

Jean Claude Empereur, géopolitologue

Serge Ducrocq, citoyen éclairé

Anne Cubayne, citoyenne responsable

Jean Allard-Meüs, officier en retraite

Fayez Hoche, docteur

Claude GAUCHERAND (contre amiral (2S)

Valérie Bugault, avocate fiscaliste, écrivaine

Isabelle Voltaire, professeur en retraite

 

Avic, Réseau International

 

 

Soldats, ne vous donnez pas à ces brutes, à une minorité :
- qui vous méprise et qui fait de vous des esclaves, 
- enrégimente toute votre vie et qui vous dit tout ce qu’il faut faire et ce qu’il faut penser, 
- qui vous dirige, vous manœuvre, se sert de vous comme chair à canons et qui vous traite comme du bétail

 

 

Il faut tous nous unir, il faut tous nous battre pour un monde nouveau, un monde humain qui donnera à chacun l’occasion de travailler, qui apportera un avenir à la jeunesse et à la vieillesse la sécurité

 

 

a scène qui suit a eu lieu dans un vol de la compagnie British Airways entre Johannesburg et Londres : 
Une femme blanche, d'environ cinquante ans, s'assied à côté d'un noir. 
Visiblement perturbée, elle appelle l'hôtesse de l'air.
- "Quel est votre problème, Madame ?" demande l'hôtesse.
- "Mais vous ne le voyez pas donc pas ?" répond la dame. "Vous m'avez placée à côté d'un noir."
Je ne supporte pas de rester à côté d'un de ces êtres répugnants. Donnez-moi un autre siège."
- "S'il vous plait, calmez-vous !", dit l'hôtesse.
"Presque toutes les places de ce vol sont prises. Je vais voir s'il y a une place disponible."
L'hôtesse s'éloigne et revient quelques minutes plus tard : 
- "Madame, comme je le pensais, il n'y a plus aucune place libre dans la classe économique.
J'ai parlé au commandant et il m'a confirmé qu'il n'y a plus de place dans la classe exécutive. 
Toutefois, nous avons encore une place en première classe."
Avant que la dame puisse faire le moindre commentaire, l'hôtesse de l'air continue : 
- "Il est tout à fait inhabituel dans notre compagnie de permettre à une personne de classe économique de s'asseoir en première classe.
Mais, vu les circonstances, le commandant trouve qu'il serait scandaleux d'obliger quelqu'un à s'asseoir à côté d'une personne aussi désagréable." 
Et s'adressant au noir, l'hôtesse lui dit :
- "Donc, monsieur, si vous le souhaitez, prenez votre bagage à main car un siège en première classe vous attend."

Et tous les passagers autour, qui, choqués, assistaient à la scène, se levèrent et applaudirent...

 

 

Un jour, un vieux professeur de l'Ecole Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.
Ce cours constituait l'un des cinq ateliers de leur journée de formation.
Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "passer sa matière".

Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : - "Nous allons réaliser une expérience".

De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot Mason d'un galon (pot de verre de plus de quatre litres) qu'il posa délicatement en face de lui. 
Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. 
Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : - "Est-ce que ce pot est plein ?". 
Tous répondirent : - "Oui".

Il attendit quelques secondes et ajouta : - "Vraiment ?". 
Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. 
Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. 
Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.

Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et redemanda : - "Est-ce que ce pot est plein ?". 
Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. 
L'un d'eux répondit : - "Probablement pas ! ".
- "Bien !" répondit le vieux prof.

Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table une chaudière de sable. 
Avec attention, il versa le sable dans le pot. 
Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. 
Encore une fois, il demanda : - "Est-ce que ce pot est plein ?". 
Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : - "Non !".
- "Bien !" répondit le vieux prof.
Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'à ras bord. 
Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : - "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience ?".

Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondit : - "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire...".

"Non" répondit le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : 
Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite".
Il y eu un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos.

Le vieux prof leur dit alors : - "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?". 
"Votre santé ?", "Votre famille ?", "Vos ami(e)s ?", "Réaliser vos rêves ?", "Faire ce que vous aimez ?", "Apprendre ?", "Défendre une cause ?", "Relaxer ?", "Prendre le temps... ?", "Ou... toute autre chose ?".

Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. 
Si l'on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie.

Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : 
"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie ?" 
Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)".

D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et lentement quitta la salle.

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